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FeuilletonFrankfurt

Das Magazin für Kunst, Kultur & LebensArt

PETRA KAMMANN, HERAUSGEBERIN · www.feuilletonfrankfurt.de · GEGRÜNDET 2007 VON ERHARD METZ

Der Prix AbiBac in Zeiten der Pandemie

Ein Bericht von Petra Kammann

Das Jahr 2020 wird wegen der durch  Covid 19 hervorgerufenen neuen Lebensumstände allen Beteiligten in Erinnerung bleiben. Eine öffentliche Verleihung des „Prix AbiBac“ des Deutsch-Französischen Kreises  Düsseldorf (DFK) war in diesem Jahr aus den bekannten Gründen leider nicht möglich. Dennoch verzichtete der DFK nicht darauf, die Leistungen der engagierten und besten Abi-Bac-Schüler(innen) des Luisen-Gymnasiums und des Lycée Français unter die Lupe zu nehmen und sie entsprechend auszuzeichnen.

So locker war die Stimmung noch ein Jahr zuvor im Jan-Wellen-Saal des Rathauses bei der Verleihung des AbiBac-Preises mit OB Thomas Geisel, der französischen Generalkonsulin Dr. Olivia Berkeley-Christmann, den Direktorinnen des Lycée francais (Magali Durand-Assouly) und des Luisen-Gymnasiums (Gabriele Patten) sowie der seinerzeit frisch gewählten neuen Präsidentin des Deutsch-Französischen Kreises Ariane Bommers…; Foto: Uwe Kammann

Zur Erinnerung: Das AbiBac – eine Symbiose aus dem deutschen Abitur (Abi) und dem französischen „baccalauréat“ (Bac) – wird in beiden Ländern als vollwertige Hochschulreife anerkannt. In den AbiBac-Klassen werden zum intensivierten Französischunterricht zusätzlich zwei Sachfächer in französischer und deutscher Sprache unterrichtet und geprüft.

In diesem Jahr konnten wegen des Lockdown die direkten persönlichen Prüfungen nicht stattfinden. Insofern entschied sich die Jury, die Abiturient*innen über ihre persönlichen Erfahrungen dieser ungewohnten Situation kurz vor dem Abitur berichten zu lassen, auf einer Seite ihre Eindrücke zu formulieren. Die prämierten Beiträge sollten dann im Anschluss auf der Internetseite des DFL veröffentlicht werden.

Roswitha Katharina Siener
1. Preis, Lycée français de Düsseldorf

 

Vögel kennen keinen Lockdown

Der Lockdown änderte meine äußeren Umstände drastisch.

Der physische Kontakt war nur noch auf meine Familie beschränkt, der Unterricht fand nun virtuell statt, täglich stieg die Zahl der Infizierten.

Doch Veränderungen bringen immer auch Chancen mit sich.

Anstatt mich über die Einschränkungen zu ärgern, entschloss ich mich bald, von dem Lockdown zu profitieren.

Die Zeit der Isolation wurde somit zu einer Zeit der Neuschöpfung, Selbstbesinnung und Entdeckung.

Eine Überlegung des Philosophen Epiktet, mit dem wir uns im Schulunterricht beschäftigt hatten, kam mir in Erinnerung und wurde für meine aktuelle Einstellung prägend:

In seinem Handbüchlein der Moral schildert Epiktet, dass der einzige Weg, innerlich frei zu sein, darin besteht, nicht zu versuchen, Dinge, die unabhängig von uns sind, zu verändern und sich der Dinge, die von uns abhängen, bewusst zu sein und zu beeinflussen.

Den Erlass der Sicherheitsmaßnahmen infolge der Corona-Ausbreitung konnte ich nicht ändern.

Doch meinen Umgang mit der Situation, der Mehrwert, den ich aus ihr ziehen würde, konnte ich – und nur ich – beeinflussen.

Lernbücher, Familie, Freunde, Natur, Musik: In meiner Umgebung befand sich alles, was ich benötigte. Und der Lockdown ermöglichte mir, endlich mehr Zeit damit zu verbringen, die Beziehung zu meinem Umfeld zu pflegen.

Zu meiner Familie und meinen Freunden spürte ich eine neue Verbundenheit. Paradoxerweise stärkte die Isolation das Gemeinschaftsgefühl, da sich jeder von uns in der gleichen Situation befand und wir gleichzeitig alle den gegenseitigen Austausch suchten.

Auch zu meinen Freunden im Ausland stieg dieses Verbundenheitsgefühl.

Meiner Violine schenkte ich ebenfalls mehr Aufmerksamkeit. Musik wurde zu einem Großteil meiner Routine, ich brachte mir nebenbei einige Klavierstücke bei.

Am meisten veränderte sich während des Lockdowns meine Beziehung zur Natur.

Während ich ihr zuvor wenig Beachtung gezeigt hatte, entdeckte ich nun für mich unseren Garten, sowie einen Park in der Nähe und den Stadtwald neu. Mir fiel auf, dass es überall besonders viele Vögel gab.

Spaziergänge wurden zu meiner Gewohnheit und bereiteten mir täglich Freude.

Dabei fing ich an, die Vögel in den Bäumen zu beobachten. Sie hatten keinen Lockdown, sie waren frei und freuten sich auf den Frühling. Deren Unbekümmertheit und Freiheit brachten mich zum Träumen, sie verliehen mir Freude und Mut. Deren lebendiges Zwitschern gibt den Menschen das Gefühl der Geborgenheit und Hoffnung.

Durch den Lockdown wurde die Natur zu meiner neuen Energiequelle und die Vögel zu meiner Inspiration…

Zwei zweite Preise

Die Wahl der Jury für die Prix-AbiBac-Preisträger war unter den diesjährigen komplizierten Bedingungen der Pandemie nicht ganz leicht. Sie entschied sich daher dafür, zwei zweite Preise zu vergeben.

 ←Nathalie Zehetner, 2. Preis Luisen-Gymnasium 

Le confinement

Pour moi, le confinement a été une expérience en trois phases : l’incertitude, la découverte et finalement l’accoutumance.
La phase de l’incertitude a principalement été marquée par une incertitude concernant les examens scolaires. Ne sachant si ceux-ci auraient lieu, je dois reconnaître une importante paresse vis-à-vis des révisions en cette première phase. Mais une fois les dates d’examen fixées, l’incertitude a disparu et j’ai finalement su me plonger dans mes fiches de cours et dans les annales des années passées. Je dirais même que la préparation aux examens de l’Abitur et du baccalauréat m’ont en quelque sorte sauvée de l’ennui profond qui a marqué l’expérience du confinement de nombreuses personnes.

Mais cette première phase n’a pas été une phase d’incertitude uniquement à cause des examens scolaires. L’incertitude avait de multiples origines et elle n’a pas encore complètement disparu. Elle concernait aussi le déroulement de la pandémie et son impact sur mon entourage mais aussi très directement sur ma vie. Au niveau de mon entourage ce fut la sécurité de mes proches qui me préoccupait le plus. Je me faisait du souci notamment pour les personnes âgées pour lesquelles nous avons donc commencé à faire les courses afin de réduire leur risque de contagion mais aussi de ceux qui étaient dans les zones à risque comme la région Grand-Est. Certains de mes proches vivant dans une zone à risque à cause du lieux de leurs études n’osaient même pas rentrer chez eux, de peur de contaminer les membres de leur famille appartenant au groupe à risque. Au niveau personnel et me concernant plus directement, il y avait des aspects à long terme comme par exemple le début de mes études mais aussi des aspects à court terme comme l’entraînement de natation qui ont fait naître un sentiment de grand doute sur ma vie dans le futur proche, qu’il s’agisse des semaines à venir ou du reste de l’année.

Mais vint finalement le temps où l’incertitude passa au second plan. La vie que je menais auparavant ayant été brusquement interrompue avec la fermeture des écoles et des piscines ainsi que l’interdiction de rassemblements sociaux, il s’agissait de trouver de nouvelles occupations et de nouveaux loisirs qui seraient compatibles avec non seulement les nouvelles réglementations mais aussi avec ma conscience, c’est-à-dire sans mettre en danger mon entourage. J’ai donc découvert des sports que je n’avais jamais pratiqués sérieusement jusque-là. Comme beaucoup d’autres, j’ai commencé à courir pour tenter de conserver mon endurance. Mais j’ai aussi commencé à pratiquer de la musculation chez moi et à découvrir ma propre région en faisant du cyclisme, deux sports qui n’étaient avant qu’accessoires comparé à mon entraînement de natation. D’autre part j’ai aussi cherché à m’occuper en faisant tout ce pour quoi je n’avais jamais eu suffisamment de temps auparavant. J’ai donc lu des livres de mon auteur préféré Marc Levy, mais j’ai aussi commencé à assembler un puzzle de trois milles pièces. De plus, j’ai profité du temps avec ma famille soudainement rassemblée par le retour à la maison de ma sœur étudiante, ses cours n’ayant plus lieu qu’en ligne.

Durant la période de découverte je me suis donc construis un nouveau mode de vie conforme au nouveau cadre qui nous était donné à tous. Je pensais au début de cette phase que j’allais vivre selon ce mode de vie pour quelques semaines ou peut-être quelques mois si la pandémie durait plus longtemps. Mais cela fait maintenant plus de trois mois que ma vie n’est plus normale. Au bout de quelques semaines j’avais, malgré le caractère bizarre et péjorativement extraordinaire de la situation, trouvé un certain rythme dans ma nouvelle vie et j’avais commencé à m’y habituer. Mais je dirais que j’ai dû changer mes habitudes deux fois. Une première fois lorsque les écoles ont été fermées et le confinement annoncé et que je manquais, comme nous tous, d’orientation autant pour le présent que pour le futur. Puis j’ai dû m’habituer une deuxième fois lorsque j’avais passé les examens scolaires et que les révisions pour ceux-ci n’allaient plus m’occuper comme elles l’avaient fait jusque-là. Mais ayant été prévisible, cette deuxième accoutumance a été plus simple que la première qui elle avait été d’origine inattendue.

En somme, le confinement a donc été pour moi une expérience imprévue comme pour nous tous, avec un impact immédiat marqué surtout par l’incertitude mais donnant aussi une occasion pour de nouvelles découvertes.

Zu Nathalie Zehentner schrieb Jurymitglied Bruno Girardeau, Attaché de langue des Institut français, als Bewertung: „Langue maitrisée et vocabulaire riche malgré quelques erreurs“(„Gute Beherrschung der Sprache, reiches Vokabular trotz einiger sprachlicher Fehler“ und inhaltlich: „Intéressant, précis et captivant“ („Interessant, präzise und mitreißend“)

Und zu Xenia Martinez: „Des erreurs de langue“ …“Ecriture personnelle, anecdotes pleines de sensibilité“ („persönliche Ausdrucksweise trotz einiger sprachlicher Fehler“, Anekdoten voller Sensibilität“)

 ← Xenia Martinez, 2. Preis Luisen-Gymnasium

Mes expériences personnelles du confinement en Allemagne

Le confinement. Il nous a tous affecté de manière différente. Pour moi, cela a été une évolution. Au début, il y avait l’incertitude. D’un jour à l’autre il n y avait plus d ́école, les magasins étaient fermés et les nouvelles en constante mutation étaient incertaines. Il s ́en est suivi la normalisation. N’ayant jamais été vraiment passionnée par le shopping ou les salles de sports, je ne les ai pas regrettés. De plus, il y avait encore la possibilité de sortir dans les parcs et de rencontrer des amis. Je ne me suis jamais sentie seule ou stressée par les répercussions possibles du confinement car j’avais le grand privilège d’être certaine que ma vie personnelle n’en sera pas affectée. Certes, certaines réglementations et restrictions existaient, mais elles ne me gênaient pas. Non, le confinement en général ne me gênait pas. Simplement, j’avais du temps. J’avais beaucoup plus de temps qu’avant et beaucoup moins de possibilités de le remplir. De là est née la phase suivante de mon état émotionnel lors du confinement : l’ennui. J’étais vaguement consciente des conséquences que le confinement avait pour une large partie de la société, mais ne pouvant rien y changer cela ne m’a pas réellement touchée. Le facteur perturbant dont il fallait se débarrasser était les longues heures de la journée qui me semblaient interminables. Il n’est pas surprenant que je n’étais pas la seule à faire face à ce problème. En effet, mon frère était tourmenté par la même question : Comment faire passer le temps ?

Les conséquences de cette question omniprésente sont apparues lentement : Nous restions plus longtemps à table pour discuter et nous avons faisions des pauses dans notre quotidien simplement pour parler de choses banales. Pourquoi ne le ferions-nous pas, après tout, nous avions le temps. Puis nous avons sorti les jeux de société. Nous n’y avions plus touché depuis des années à l’exception de quelques rares occasions. Il est bizarre à quel point une chose aussi banale que des jeux de société peut être importante quand il n’y a rien d’autre à faire. Ainsi notre quotidien semblait moins ennuyant et les heures passaient plus rapidement. Mais ce n’est pas seulement ma famille directe qui a subi les conséquences du confinement. Au contraire, ma famille en France était dans la même situation. Evidemment, grâce aux médias, j’étais au courant des réglementations françaises, beaucoup plus strictes que celles en Allemagne. Cependant il y a un écart entre les faits officiels et l’impact réel sur les gens. Ce n’est qu’à travers les témoignages de ma famille française que j’ai réellement compris l’ampleur de la situation. La prise de conscience que je n’avais plus la liberté d’aller leur rendre visite comme bon me semble, fait partie des réalisations les plus frappantes pour moi. Non pas que nous avions l’intention d’y aller, mais ayant grandi dans une Europe sans frontière je n’avais jamais connu de telle situation. Ce n’est que lorsque cette liberté de mouvement a été retirée que j’ai réalisé à quel point je l’appréciais.

Suite aux inquiétudes croissantes il y a eu du changement en ce qui concerne les contactes au sein de ma famille. D’abord, les appels téléphoniques sont devenus plus fréquents. Puis, mon cousin a créé un groupe whatsapp pour notre famille. Finalement, je n’ai jamais reçu autant de photos et de messages provenant de ma famille en France avant le confinement. Mais ce confinement n’était pas simplement le déclencheur de ces échanges, il en était aussi le sujet. La vie de ma famille en France est naturellement marquée par d’autres événements que la mienne. Aussi triste que cela puisse paraître, le confinement était une base commune. On pouvait en discuter, comparer les situations et spéculer sur l’avenir.

Donc, paradoxalement, le fait de garder mes distances m’a rapproché des autres.

 

Yannick Werle, 3. Preis, Luisen-Gymnasium                                                                                                              Mes experiences en confinement 

Pour adéquatement expliquer l’expérience que j’ai fais et la leçon que je apprise pendant mon confinement, il faut d’abord donner un peu de contexte.

En Allemagne, le confinement a officiellement commencé au 23 mars, mais déjà dix jours avant, les écoles ont étaient fermées et ma famille et moi nous sommes isolés. Puis, les examens de l’Abitur ont été repoussés vers la fin de mai. J’ai alors fais un plan pour réviser efficacement pour l’Abitur et le baccalauréat, et accordant à ce plan, je commencerai avec mes révisions trois semaines avant mon premier examen. Cela signifie que j’avais assez de temps à passer pendant lequel je ne serra pas occupé avec des études.

Alors, je me disais que je pouvais relaxer, en gros me comporter comme en vacances. Le problème qui se posait avec cette attitude, était que je ne pouvais pas me comporter comme en vacances. Je ne pouvais pas faire de sport, je ne pouvais pas aller au piscines et je ne pouvais pas aller voir mes amis.

La situation me força de rester à la maison et passé du temps avec moi même.

Au début j’était beaucoup sur mon portable, en particulier les médiaux sociaux comme Instagram. Je faisais pratiquement rien. Et presque chaque jour, je faisais une sieste, car j’étais trop fatigué, ce qui est assez intéressant, prenant en compte que je passais mes jours sans aucune activité considéré épuisante. Pas de travail pour l’école, pas d’autre travail mental, et pas d’activité physique. Pourtant, je n’arrivais pas à rester debout pour une journée entière, malgré le fait que je me réveillais vers onze heure et allais dormir pas plus tard que deux heure du matin.

Après deux semaines, je commencait à faire des fiches d’apprentissage pour histoire, pour être mieux préparé quand je révise pour l’examen. Je m’en attendais pas beaucoup, comme je pensais que j’étais trop fatigué pour travailler, mais cette semaine, j’avais beaucoup d’énergie et pas besoin de sieste. Quand mes fiches pour histoire était terminé, je voulais profiter de cette motivation, alors je m’ai mis à chercher quelque chose à faire. J’ai activement maintenu et approfondi mes contactes sociaux, comme, par rapport à la vie normale de tous les jours ou on est stressé et occupé, maintenant il y avait plein de temps pour vraiment parler à ces amis, aussi sur un niveau plus profond. Normalement, quand on se voit à l’école, on parle de ce qui se passe dans les cours ou comment on se prépare pour le prochain examen ou simplement ce qui se passe dans le monde. Mais comme on entend des nouvelles sur le virus sans arrêt on ne veut plus vraiment en parler, et comme s’échanger sur l’Abitur et ses préparations ne prend pas plus qu’une heure, on commence à parler d’autres choses, entre-autre des thèmes plus profonds.

En conclusion, j’ai réalisé que ma fatigue est disparu quand j’ai fais plus que constamment me relaxer. Comme élèves à l’école, nous vivons une vie plutôt passive. Nous avons des cours, des devoirs, des sports, des amis etc… avec lesquelles nous passons notre temps. Si tout cela disparaît, nous devons activement décider quoi faire avec notre temps. Et d’être actif me semble très important après cette expérience de fatigue pendant mon confinement.

Wegen einiger sprachlicher Fehler war sich die Jury hier einig, dieser Arbeit, die sehr persönlich die Empfindungen beschreibt,  den 3. Preis zu  geben. Der 1. Preis ist mit 300 Euro, der 2. Preis mit 200 Euro, der 3. Preis mit 100 Euro ausgezeichnet.

Die Texte wurden umkorrigiert übernommen

Als Erinnerung an den besonderen Preis erhielten alle nominierten Schüler(innen) den dreisprachigen Gedichtband von Stéphane Hessel „O, ma mémoire“ aus dem Grupello Verlag).„100 Gedichte, die mir unentbehrlich sind“, hat der über 90-jährige  ehemalige französische Diplomat und Widerstandskämpfer Stéphane Hessel – im Laufe seines ereignisreichen Lebens in seiner Muttersprache Deutsch, auf Französisch und Englisch auswendig gelernt und immer wieder aus Dankbarkeit rezitiert hat, sie ihm in entscheidenden Momenten das Leben gerettet haben.  

Die Jury besteht aus den Romanisten Petra Kammann (Vorsitzende) und Prof. Dr. Bernd Kortländer, Vorstand, Présidence, und dem Attaché de coopération  pour le français pour la Hesse et la Rhénanie-du-Nord-Westphalie Bruno Girardeau, Institut français à Düsseldorf.

Dass die Preisvergabe trotz Pandemie geschätzt wurde, davon zeugt auch ein Dankesbrief der 1. Preisträgerin:

Sehr geehrte Frau Kammann, sehr geehrter Vorstand des Deutsch-Französischen Kreises, sehr geehrte Prüfungskommission,

ich möchte mich vom Herzen für Ihre erfreulichen Nachrichten und Ihre Glückwünsche bedanken:

Die Auszeichnung mit dem Prix AbiBac ist mir eine große Ehre und auch eine würdevolle Aufgabe, an der ich gerne wachsen möchte und die ich mit Verantwortung in die Welt tragen werde. 

Der Gedichtband „O ma mémoire“ von Stéphane Hessel wird sicher einen stolzen Platz in meiner Bücherreihe einnehmen und mich erneut dazu inspirieren, aus dem Privileg der deutsch-französischen Erziehung den bestmöglichen Beitrag zu der Vertiefung der europäischen Beziehungen und multikulturellen Völkerverständigung zu leisten.

Mit großer Freude und Interesse möchte ich mich bei der anstehenden Veranstaltung dem Deutsch-französischen Kreis anschließen, dessen bedeutende Werte ich schöpferisch vertreten möchte.

Die 300 Euro werde ich ebenfalls sinnvoll in meiner Studentenkasse anlegen. 

Mit freundlichen Grüßen,

Roswitha Katharina Siener

 

 

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